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Le pire n'est pas (toujours) certain

Le pire n'est pas (toujours) certain

La création théâtrale, un outil politique pour parler des migrations ? C'est tout l'objet du billet écrit par Anne-Laure Amilhat-Szary pour notre Ethnopole, fine analyse de la création théâtrale "Le pire n'est pas (toujours) certain" de Catherine Boskowitz.

Un chien fait la route des camps de réfugiés de Thessalonique à Bobigny... En chemin, il nous fait découvrir les "existences cabossées" par la migration qu'il croise sur les routes de l'exil...

Cette fantaisie narrative se nourrit d'œuvres littéraires, de créations plastiques, mais également de musique et de danse. Une aventure collective qui permet d’exprimer de manière distanciée le désarroi des personnes migrantes aux portes de l’Europe, le durcissement des positions régaliennes et les contradictions intérieures des responsables des États, sans oublier les formes de résistance qui s’organisent au sein des sociétés occidentales. 

Auteur.es, comédien.nes, exilé.es, chercheur.es s’unissent ainsi au concert de voix qui plaident en faveur de « solidarités imprévisibles et transversales»...

Auteur : Anne-Laure Amilhat-Szary, géographe, laboratoire PACTE, Université Grenoble-Alpes

Lire le billet d'Anne-Laure Amilhat-Szary [application/pdf] - 3,54 MB